Cours sur les blocs et transformations sur Scratch – 3ème.
1. Rappels : les blocs personnalisés.
Scratch permet de créer des blocs personnalisés.
On crée un bloc dans « mes blocs » et on le nomme.
Cette fonction est pratique pour définir un motif dont on pourra se servir, par exemple lors de transformations, en n’utilisant que cette nouvelle instruction.
Exemple : On définit un bloc « rectangle » ; on peut tracer un rectangle en intégrant l’instruction dans un programme.
2. Translations et frises.
On définit une frise par la répétition d’un même motif par translations.
Exemple :
En partant de la gauche de la scène, à 4 reprises, on trace le rectangle, en se décalant de 100 pas (stylo relevé).
Attention : l’espace entre deux rectangles est 100 – 80 = 20 pas.
Remarque : on peut aussi jouer sur l’épaisseur du stylo :
3. Rotations et rosaces.
On définit une rosace par la répétition d’un même motif par rotations.
Rappel : un tour complet mesure 360°. Afin de dessiner n motifs répartis équitablement sur ces 360°, on tourne à chaque fois de 360/n°.
Exemple :
À 8 reprises, on trace le rectangle, en tournant de 45° (360÷8) à chaque fois.
Remarque : on peut aussi jouer sur les couleurs :
4. Agrandissements, réductions et homothéties.
En intégrant des variables pour les dimensions du motif, on peut faire varier celles-ci.